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    Photo Vidéo club de Mayet - Sarthe

Photo Vidéo club de Mayet - Sarthe

Le photo vidéo club Georges Méliès de Mayet est une association « loi 1901 » sans but lucratif qui tire ses ressources d’une subvention de la ville de Mayet et des cotisations de ses membres. Il regroupe aujourd’hui une cinquantaine de membres. • Le club fait partie de la Fédération Photographique de France (qui regroupe environ 500 associations photographique) et sa division régionale est l’U.R 06 Pays-de-la-Loire. • La cotisation au club est fixée à 45 € par an. A celle-ci s’ajoute, pour ceux qui désirent profiter des avantages offert par la F.P.F et participer aux concours, la cotisation fédérale de 40 €, l’abonnement au magasine France Photographie, édité par la F.P.F, est de 22 € pour les adhérents. • Locaux. Centre culturel Espace Lichtenau BP 30021 Place de l’Hôtel de ville 72360 Mayet • Tél : 06.80.73.06.34 • Email : macblac@orange.fr Président : Marc Blachère Secrétaire général : Jean Veneau - Trésorier : Gilles Perrin


Guide d' initiation à la vidéo avec son appareil photo - 2/2

Publié par Photo vidéo Club de Mayet - Sarthe sur 13 Novembre 2019, 16:38pm

Catégories : #"Tutoriels Vidéos - de Francis Coulon"

Initiation à la vidéo -2-
Proposée par le photo-ciné-club Georges Mélies Mayet
Tutoriel de Francis Coulon
 
Prise de vue et Cadrage
Focale et objectifs :
En photographie, on définit la focale comme la distance (exprimée en millimètres) qui sépare le centre optique de l'objectif du foyer image ; ce dernier désignant le point de convergence des rayons lumineux, c'est-à-dire l'emplacement de la surface photosensible (film ou capteur) lorsque la mise au point est faite à l'infini.
À titre d'exemple, si un objectif dispose d'une distance focale de 50 mm, cela signifie tout simplement qu'une distance de 50 mm sépare son centre optique du foyer image.
Dans les appareils photos, nous avons maintenant des systèmes optiques à focale variable : les zooms.
La taille du capteur d'un appareil défini « la focale normale », c'est à dire la focale qui va restituer
une image proche de ce que voit l’œil humain.
Cette focale a été déterminée à partir du film 35 mm (correspondant au format 24x36) qui constituait le standard le plus utilisé en cinéma et en photographie. Elle est pour ce format (qu'on  appelle « le plein format ) de 43,30 mm que l'on a arrondi à 50 mm pour nommer ces objectifs comme « standard » ou à focale normale.
Pour nos appareils dont les capteurs sont plus petits, on applique des coefficients de conversion de focale (voir tableau). Plus le capteur sera petit plus la focale normale sera courte.
 
Ainsi, par exemple, pour un capteur APS-C (Canon) avec un coefficient de 1,6, la focale normale sera de 26,8 mm qu'on peut arrondir à 25 mm.
Tous les objectifs avec des focales plus courtes seront appelés : grand-angle ou très grand-angle.
Ceux avec des focales très longues : téléobjectifs ; chacun de ces objectifs ayant ses caractéristiques particulières.
 
Les courtes focales ou grand angle :
  • - Sont appropriées pour les larges compositions, telles que les paysages, l'architecture, les scènes de rue.
  • - Ont tendance à déformer les lignes et plus particulièrement les verticales.
  • - Augmentent l'aspect des distances en profondeur.
  • - Les objets proches de l'appareil prennent une importance exagérée.
  • - Augmente l'impression de vitesse des mouvements vers l'appareil.
  • - Permettent des grandes profondeurs de champ.
Les focales normales ou moyennes :
  • - Donnent des images «sages », proches de notre vision.
  • - Donnent aux paysages, aux monuments leurs vraies distances.
  • - Font que les personnages et leurs gestes sont naturels.
  • - Sont idéales en photo pour les portraits.
  • - Sont appropriées pour le reportage et les scènes de rue.
Certains photographes et cinéastes ne jurent que par ce type d'objectif pour ses rendus naturels.
 
Les longues focales longues et téléobjectifs :
  • - Sont appropriés pour les gros plans et très gros plans et bien sûr pour les images sportives et animalières.
  • - Ont tendance à diminuer l'aspect des distances en profondeur en « collant » les plans les uns sur les autres.
  • - Par contre, permettent d'isoler un sujet rapproché par rapport au fond.
  • - Diminuent la profondeur de champ (d'autant plus que le diaphragme est ouvert).
  • - Rendent difficile la stabilité de l'image, un pied est indispensable
 
Composition de l'image
Lumière, couleur, premier plan, arrière plan, équilibre des lignes, position des personnages, cadrage des monuments…, les règles de composition d'une image sont les mêmes, pour la plupart, que celles qui s'appliquent à la photographie.
En outre pour l'image animée, au-delà de la nature de chaque plan, il est nécessaire de prendre en compte les règles relatives à la direction des regards, à la direction des déplacements, aux champs et contrechamps, et à toutes celles qui concernent les raccords.
 
Types et tailles des plans
Les plans sont les véritables matériaux de la construction d'un film et ils sont des éléments de la syntaxe cinématographique, chacun d'eux eux ayant une signification particulière.
Leur taille, leur durée, les angles choisis, les mouvements et la combinaison de ces éléments font que, assemblés les uns aux autres, les plans formeront un tout qui doit être cohérent et qui deviendra un film.
 
Avant de détailler les différents types de plans, rappelons que l'utilisation du format « paysage » est une imposition. Cette remarque qui semble être une évidence est destinée aux utilisateurs de portables que l'on voit filmer en tenant leur appareil … verticalement !!
- Plan d'ensemble ou plan éloigné :
Appelé aussi plan général, il montre un paysage, un monument ou un site urbain qui est souvent le cadre de l'action. Les personnages, s'il y en a, sont nécessairement de petite taille et leur identification reste imprécise.
 
- Plan de 1/2 ensemble :
Il réduit l'importance du décor au profit des personnages qui s'en détachent sans confusion.
Ce type de plan partage l’intérêt d'une manière égale entre le lieu et ceux qui y figurent. Pour cette raison, il convient bien à l'introduction d'une scène dans un film avec interprètes.
 
- Plan moyen :
Il garde encore dans le cadrage des éléments du décor, mais ce sont surtout les personnages vus en pieds qui ressortent. Leur visage, la façon dont ils sont vêtus, leur comportement apparaissent clairement.
 
- Plan rapproché ou plan américain :
Il coupe les personnages à mi-corps. Leurs expressions, leurs gestes sont pleinement mis en valeur.
Dans une fiction, une scène avec deux interprètes est souvent cadrée de cette manière.
 
- Gros plan :
Il ne retient qu'une partie limitée du sujet, visage, membre, détail vestimentaire, objet, détail particulier qui remplissent souvent tout l'écran.
 
 
- Le ts gros plan :
Il s'intéresse aux sujets vu à une distance extrêmement rapprochée. Le grossissement obtenu s'éloigne de notre vision habituelle : dans un visage, nous ne voyons que les yeux ; chez un enfant, que sa main qui gratte le sol ; chez un écrivain, nous ne suivons que la plume qui trace quelques mots ...
 
Nota : Certains propos contenus dans ce chapitre sont tirés du livre «Le Nouveau Cinéaste Amateur» de Pierre Monnier paru en 1974.
Les images qui illustrent ce chapitre sont tirées de film « des Zébus et des Hommes » de Michelle et Jean-Luc Jarrouseau.
- Angles de prise de vue :
Il est bien rare que l'axe de la prise de vue soit horizontal, l'orientation de la caméra plus ou moins apparente est commandée par le sujet.
La caméra dirigée vers le bas nous offrira une vue en « plongée » et dirigée vers le haut, une vue en contre-plongée.
Au-delà de ce premier aspect, qui n'a d'autre motif que la commodité de la prise de vue, chacun de ces angles utilisés avec une intention précise prend une signification particulière : 
 
- Plongée :
Une prise de vue plongeante enferme davantage les choses, leur définit des limites, paraît en restreindre les dimensions. Elle peut correspondre à un resserrement de l'action, à une claustration (physique ou mentale), à un sentiment d'oppression. Vu du haut en bas, le sujet ou la personnage semble rapetissé, amoindri, voir soumis si on étend cette impression physique au domaine moral.
 
-Contre-plongée :
A l'opposé, une prise de vue en contre-plongée « aère » l'image, semble l'élargir, la libérer de son horizon restreint. Elle peut renforcer un sentiment de plénitude, d'aventure, d'orgueil.
Cet angle de prise de vue donne au personnage une impression de puissance ou de domination.
Attention : prendre garde aux déformations que des angles trop exagérés apportent aux images. Un aspect caricatural peut vite en résulter.
 
- Mouvements de caméra :
Ce n'est pas le cadre qui bouge mais c'est ce qui se passe dedans.
Dans l'esprit du cinéaste novice, la caméra doit obligatoirement être mobile devant une scène ne comportant pas de mouvement. Selon ce principe, plus le sujet sera vaste, plus nombreux et plus
désordonnés seront les mouvements (et plus indigeste la vision des spectateurs !).
Les paysages, comme tous les autres sujets, sont souvent mieux rendus dans une succession de plans fixes que dans des balayages désordonnés.
Une fois ce grand principe établi, l'emploi d'un mouvement de caméra est admis et/ou nécessaire s'il est justifié et s'il amène un certain dynamisme à l'image.
 
Voici les principaux mouvement :
 
- Le panoramique horizontal
Il s'agit d'un mouvement circulaire qui se fait de droite à gauche ou de gauche à droite que l'on doit réserver, tant faire se peut, au suivi d'un sujet qui se déplace. Dans ce cas, la vitesse d'exécution et le mouvement sont imposés par le-dit sujet.
Sur des sujets statiques, il est à employer avec beaucoup de discernement (j'insiste). Le cadrage de départ, la vitesse et le sens du mouvement, le cadrage de l'arrivée doivent être exécutés avec soin.
Un panoramique de ce genre ne s'improvise pas et nécessite souvent une répétition au préalable.
Un panoramique réussi doit avant tout être stable ; l'emploi d'un pied et la position du cadreur sont des gages de qualité : en déséquilibre, le cadreur transmettra des tremblements à l'image. Il est préférable que l'opérateur prenne, au départ du plan, une position qui l'amènera, au long de la prise de vue, à rejoindre son équilibre naturel qu'il atteindra à la fin de la prise.
 
- Le panoramique vertical
Il s'agit d'un mouvement circulaire qui se fait de bas en haut ou de haut en bas.
Les précautions à prendre sont les mêmes que celles d'un panoramique horizontal.
Attention : une suite de panoramiques dans des sens différents, à des vitesses différentes est pratiquement impossible à monter.
- Le travelling
Il s'agit d'une technique de prise de vue grâce à laquelle la caméra s'approche ou s'éloigne du sujet
ou l'accompagne dans ses déplacements.
Cette façon de se mouvoir autour du personnage ou dans le décor donne beaucoup de vie au film.
Elle nécessite le recours à des moyens de locomotion allant des plus sophistiqués, que l'on trouve sur les plateaux de tournage des professionnels, aux plus simples, comme le suivi au poing en passant par des accompagnements à bord de véhicules (voitures, bateaux ...).
Une seule précaution s'impose : le déplacement de l'appareil doit se faire sans le moindre heurt ou à-
coup, toute image cahotante serait insupportable en projection.
Une variante au travelling avant/arrière : ce n'est pas la caméra qui se déplace, c'est l'utilisation du zoom de l'objectif qui produit l'effet de s'avancer ou de s'éloigner du sujet.
Comme avec les moyens mécaniques, cette technique doit se faire sans à-coup, elle nécessite aussi une grande attention à la mise au point car en se rapprochant du sujet, en réalité en passant d'une courte focale à une longue focale, la profondeur de champ se raccourcit et l'image peut rapidement devenir floue. De même l'aspect de l'image changera au cour du travelling, les lois de l'optique faisant que le rendu d'un sujet est différent qu'il soit photographié avec un grand angle ou avec une longue focale (voir chapitre « mise au point et profondeur de champ » et chapitre « focale etobjectif »).
Comme pour les panoramiques, les néophytes ont tendances à user et abuser du zoom de leur appareil, le recours à des travellings optiques est donc à faire avec parcimonie et après s'être posé la question de leur nécessité. Comme pour les panoramiques, une suite de travellings optiques est pratiquement impossible à monter.
Malgré la mise en garde d'une utilisation massive et désordonnée des mouvements de caméra, il s'avère que leur emploi, à condition qu'il soit justifié, peut donner un certain dynamisme à l'image.
Par exemple, un beau panoramique vertical du bas vers le haut au pied d'un gratte-ciel ; ou encore, un lent travelling sur un premier plan qui alors se détache bien de l'arrière plan.
Il existe un appareillage particulier qui, posé au sol ou sur table ou encore monté sur pied, permet de
réaliser des travellings combinés avec des panoramiques d'une fluidité remarquable (vendu à tous
les prix mais comptez aux alentours de 300 à 400€).
 
 
Pour terminer ce chapitre sur les mouvements de caméra, un dernier rappel : Toujours se poser la question sur la nécessité de bouger sa caméra.
- Durée des plans
C'est une notion des plus subjectives qui concerne aussi bien la prise de vue que le montage.
Il faut distinguer la longueur du plan tourné et la longueur du plan monté. Aussi est-il préférable de tourner les plans sur une certaine longueur que l'on pourra réduire au montage. Mais attention, cette réduction est souvent insuffisante et des plans tournés longs restent longs au montage (il est dur de réduire drastiquement ses images, surtout pour les primo-réalisateurs).
Sans vraiment vouloir définir la bonne durée d'un plan, sachant que c'est le sujet qui la détermine, la moyenne se situe entre 5 et 10 secondes. Filmer pendant 20 secondes suppose que l'action soit d'un caractère exceptionnel. Un plan de 2 à 4 secondes peut apparaître à l'écran et être parfaitement compris par le spectateur.
Il faut avoir à l'esprit qu'une succession de plans courts sera toujours plus agréable, pour le spectateur, qu'un assemblage de plans trop longs d'autant, qu'aujourd'hui, son œil est habitué à des séquences composées de plans extrêmement courts (une ou deux secondes voir moins dans les clips musicaux ou dans les spots publicitaires).
 
 
Court et rapide ne sont pas synonymes comme long et lent ne le sont pas non plus.
- Les raccords :
Parler des raccords c'est déjà appréhender la question du montage. Chaque plan devant se raccorder avec un précédent et un suivant, il existe des règles qui permettent de le faire pour assurer une bonne lecture et une fluidité de l'action.
Ces règles doivent être présentes à l'esprit au moment des prises de vues pour ne pas se trouver au montage avec des choses impossibles à monter ou du moins à monter élégamment.
Les raccords servent donc à donner une continuité entre deux plans d'une même séquence ; pour rappel une séquence est une unité du film composée d'un plan (on parle alors d'un plan séquence) ou de plusieurs plans qui, entre eux, ont une unité de temps et une unité de lieu.
 
- Direction des placements :
Une personne ou un objet qui se déplace dans une suite de plans doit être filmé de manière à aller dans le même sens dans chacun des plans pour ne pas donner l'impression d'aller et de revenir.
Quand l'option est prise que le sujet se déplace de la droite vers la gauche, il faut positionner la caméra toujours du même coté par rapport au sens du déplacement (dans ce cas à gauche) .
Selon cette règle, des voitures sur un circuit doivent toujours aller dans le même sens, ce ne serait pas le cas si on passait la caméra d'un coté puis de l'autre de la piste. D'ailleurs, vous pourrez remarquer que sur un circuit les caméras de diffusion sont toutes du même coté de la piste.
Bien entendu, si cette règle n'était pas respectée, notre cerveau rétablirait la situation pour la rendre compréhensible mais le film perdrait en fluidité.
Deux personnes filmées dans des plans différents donneront l'impression d'aller l'une vers l'autre si l'une va dans un sens dans un plan et l'autre dans le sens opposé dans le plan suivant. Si elles vont dans le même sens on aura l'impression qu'elles se suivent.
 
- Direction des regards :
Le regard d'une personne donne une indication de la position de l'objet regardé s'il se trouve hors cadre.
La façon de filmer le sujet regardé doit être faite d'un point de vue subjectif (la caméra prend la place des yeux du personnage) : le regard levé vers le ciel, le plan suivant sera en contre-plongée sur un oiseau par exemple ; le regard vers le bas, le plan suivant sera en plongée sur quelque chose ou quelqu'un au sol….
Deux personnes se regardent et sont filmées dans des plans séparés, l'une doit regarder vers un coté du cadre et la deuxième vers l'autre. Un troisième plan montre les deux personnes en même temps dans le même cadre, leur regard respectif doit être dans le même sens que dans les plans précédents correspondants.
 

 

- Champ et contrechamp :

En prolongeant cette notion de raccord des regards, deux personnes dialoguent dans une suite de plans qui constitue une séquence. Elles peuvent être filmées dans des plans séparés ou apparaîtrent toutes les deux dans un même plan. Dans chacun des plans de cette série, la règle des regards s'applique mais aussi la règle des positions. Exemple : une personne A est de face sur la gauche, elle parle à la personne B qui est de dos sur la droite (nous sommes dans le champ) dans le plan suivant on veut voir la personne B de face qui répond à la personne A qui se trouve de dos (c'est le contre-champ). Dans ces deux plans, comme dans toute la série qui peut suivre dans la séquence, les personnes doivent toujours occuper une même position dans le cadre, c'est à dire que A doit être dans les 2 cas à gauche et B à droite. On applique alors la règle des 180° qui consiste à autoriser la caméra à faire des plans avec un écart d'angle maximum de 180° en restant toujours du même côté de la ligne fictive qui passe entre A et B.

 

 

Extraits de l'Hermine

de Christian Vincent

 

-Raccord de mouvement :

Une action commence dans un plan et se termine dans l'autre, tout en respectant les règles de direction et/ou de regards, le point de montage peut se trouver dans le geste ou dans le mouvement.

 

Exemple : premier plan, dans son bureau une personne A se dirige et ouvre la porte qui se trouve sur sa droite, dans un deuxième plan, on la retrouve dans le couloir qui ouvre cette porte, elle la referme et s'en va. Selon la règle des directions, la personne doit se diriger sur sa droite dans les 2 plans. Le point de montage peut se trouver un peu partout dans le mouvement de la porte tant qu'il apparaitra naturel et fluide.

 

- Raccord dans l'axe / règle des 30° :

Deux plans tournés avec des focales identiques ou très proches et dans le même axe sur une action qui a peut évoluée (un jongleur au milieu d'une piste de cirque par exemple) sont vraiment très durs à monter. Sur un sujet comme celui-ci, il est préférable de décaler l'axe de la prise de vue d'environ 30° d'un plan à l'autre pour permettre un raccord correct.

Cependant, le raccord dans l'axe est couramment employé pour créer volontairement un choc visuel mais toujours avec un écart relativement important de focale entre les deux plans.

 

Pour terminer une petite vidéo YouTube qui démontre assez bien, à sa manière, ces notions de raccords :

 

https://www.youtube.com/watch?v=BChOZs4wDC8

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